jeudi 25 novembre 2010

Honte sur moi !

 Ce texte écrit en blanc a pour unique but de séparer l'article du titre, merci de ne pas en tenir compte !
Oui, je sais, j'avais promis de poster ce week-end... Mais j'avais des devoirs et j'ai pas vraiment eu le temps de me poser. Et puis... et puis voilà !






La nuit interminable des hivers. Tu sombrais. Te laissais vaincre. Admettais que la vie ne pourrait renaître. A jamais les routes interdites, enfouies, perdues. Mais ces instants que je voudrais revivre avec toi, ces instants où tu lâchais les amarres, te livrais éperdument à la flamme, où tu laissais s’épanouir ce qui te poussait à t’aventurer toujours plus loin, te maintenait les yeux ouverts face à l’inconnu. Tu n’aurais osé le reconnaître, mais à maintes reprises il est certain que l’immense et l’amour ont déferlé sur tes terres. Puis comme un coup qui t’aurais brisé la nuque, ce brutal retour au quotidien, à la solitude, à la nuit qui n’en finissait pas. Effondrée, hagarde. Incapable de reprendre pied.
Te ressusciter, te recréer. Te dire au fil des ans et des hivers avec cette lumière qui te portait, mais qui un jour, pour ton malheur et le mien, s’est déchirée. 


Lambeaux, Charles Juliet.



Le dessin est fait à l'encre de chine et lavis, les couleurs ont été rajoutées sur Photoshop.
Le texte est un extrait de Lambeaux, de Charles Juliet, un très bon livre que je vous conseille vivement de lire.

(pour ceux qui connaissent déjà mes dessins, n'ayez crainte, je ferais aussi des trucs nouveaux.)

vendredi 12 novembre 2010

Je passe en coup de vent !

Bonjour tout le monde ! J'avais la bonne résolution d'écrire un article par semaine (si, si !). Seulement là j'ai tellement de travail que j'ai pas le temps. Cependant d'ici le week-end prochain, je devrais publier un truc nouveau, si tout se passe bien ! (vous en avez de la chance, hein ?)

Je viens également vous faire part d'une nouvelle importante : Désormais tout le monde peut poster des commentaires et pas seulement les membres du club machin-chouette de gougueule. Ne voyez pas du tout ça comme une incitation de ma part, bien sur, mais j'avoue que ca me ferait quand même vachement plaisir !


Donc à la semaine prochaine !

mardi 2 novembre 2010

Et une bédé à la con, UNE !




Désolée pour ça, je n'ai aucune excuse.